"Elle songea que ce corps lui appartenait, qu'elle était libre de le détruire si cela lui chantait, de le dévaster au moyen de signes indélébiles ou de le laisser se dessécher, telle une fleur qu'une fillette arrache par caprice et abandonne par terre."
"Car Mattia et elle étaient unis par un fil élastique et invisible, enseveli sous un fatras insignifiant, un fil qui ne pouvait exister qu'entre deux individus de leur espèce, deux individus qui avaient reconnu leur solitude dans celle de l'autre."
Simple choix egocentrique finalement....Je pense que cette histoire se rapproche de la mienne. Ou bien de la notre. Tout dépend du point de vue.
Quoi qu'il en soit, certains passages m'ont profondément émus. Bon, là ça fait un peu promo du bouquin. (Des flyers sont distribués à la sortie....)
Mais, je le conseille vraiment.
Pensée philosophique du jour : Après la semaine qui vient de s'écouler, j'en déduis que les bacs blancs sont là pour te rappeler ô combien tu vas te ramasser à ton oral de Français.
Ci-joint une photo de Kurt. Parceque Kurt est beau. Un brin crassou, mais beau.